A partir des découvertes de Charles DARWIN et des dernières recherches en GENETIQUE,  je poursuis ces recherches sur le plan PLURIDISCIPLINAIRE sous forme de synthèse des derniers travaux scientifiques connus: (Documentation : M.N.H.N.Paris, et divers) - Photographies de Mike Bentaberry. Paris )

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                        Un fossile vivant : le COELACANTHE.

    On ignore encore comment la vie commença: Selon certains chercheurs, la combinaison de certaines molécules simples, contenues dans l'eau de mer et dans l'atmosphère, aurait pu aboutir à la formation de composés organiques; ceux-ci, à leur tour, en se combinant, auraient fait APPARAITRE LA VIE...

     L'énergie nécessaire à ces réactions aurait été fournie par les décharges électriques des orages (par exemple)....Ces recherches scientifiques complexes doivent se poursuivre dans différents domaines :

En Génétique :

 Découverte récente de LUCA (last universal common ancestor):dernier ancêtre commun universel; Découvertes des SWITCHES : Interrupteurs de section du code génétique créant des dérivations multiples, et de la Phylogénie Moléculaire : nouvelle technique permettant de dater l'apparition des ancêtres communs à plusieurs espèces.

En Astrophysique :

  Etude sur les divers "bombardements" que subit chaque jour notre planète: ( chaque année la surface terrestre reçoit près de 100 tonnes de météorites carbonées...-plus 20.000 tonnes annuelles de micrométéorites (groupe des chondrites carbonées, dont 100 tonnes de carbone ), élèment entrant dans la composition de la vie... Recherches  des neutrinos et  micro-météorites, notamment. sur les consèquences sur notre environnement. (Programme ANTARES en cours).

En Paléontologie :

 Mise à jour des dernières découvertes de fossiles. (Documentation: .S.S.N.A.T.V. (Toulon) .Fouilles Paléonthologiques dans le VAR avec réunion de travail deux fois par mois à Toulon.

NOTA:

     Ces disciplines n'étant pas limitatives, l'Etude se poursuit avec des sciences pluridisciplinaires diverses: exobiologie (ou astrobiologie), biologie marine et moléculaire, géochimie, etc.

Premières conclusions:

 Sur 46 ans de réflexion de recherches pluridisciplinaires, mes observations aboutissent à des "clés" importantes: (Source: M.N.H.N.):

       LES 3 COMPOSANTS DU VIVANT:

 Bactéries ou Eubactéries                 Archées ou archeobactéries:

( composées d'1 seule cellule           (Micro-organismes unicellulaires adaptés

et sont présentes partout)                   à des conditions extrêmes)

                              Eucaryotes:

                 (Organisation cellulaire complexe:)

               ( Plantes-Champignons-Animaux-Hommes )

Nota.: Finalement, la seule différence (en génétique) qu'il y a entre le genre humain et son environnement du monde vivant, c'est sa prodigieuse faculté de l'INTELLIGENCE...(+ language articulé +pensée + réflexion dans le temps...).

 MON OFFRE DE COLLABORATION : Réunion de Concertation Pluridisciplinaire...

- 1èr) : J'invite  les CHERCHEURS scientifiques ou Amateurs motivés,à me rejoindre pour des recherches pluridisciplinaires en réunissant toutes informations multimédia scientifiques et sérieuses pour compléter cette THEORIE DE L'EVOLUTION, et peut-être, arriver à expliquer l'origine de la VIE.

-2ème) : Offre de recherches collectives sur une DISCIPLINE choisie  pour approfondir un sujet déterminé

    Mon deuxième site concerne la recherche d'une vie extraterrestre..                 http//:recherche-vie-extraterrestre.jimdo.com....                                                  Merci pour votre aimable attention;  j'aurais beaucoup de plaisir à vous lire....                                                 Pour m'écrire : bertin75@noos.fr

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Evolution et PERTURBATIONS des SWITCHES :

(Interrupteurs de sections du code génétique créant de multiples dérivations).

Les organismes vivants ont tous des gènes en commun ; La transmission des variations génétiques marque le début de l’évolution

-          1^ère extinction importante des Espèces :

      A la fin du Cambrien (vers 500 millions d’années : Ma) nous voyons une extinction importante notamment parmi la faune d’Ediacara.

-          2^ème extinction des Espèces :

     Survient une seconde extinction à l’Ordovicien (vers 444 Ma).

-          3^ième extinction de masse :

   A la fin du Dévonien (vers 359 Ma), nous assistons à une nouvelle extinction importante.

-          4^ième extinction de masse :

     Au Permien (299 Ma), encore une importante extinction parmi les Sauropsidés (tortues), les Lépidosauriens (serpents, lézards), les Archosauriens (dinosaures, oiseaux, crocodiles…) et Synapsides (certains reptiles et mammifères) qui disparaissent dans ce cataclysme destructeur.

Les spécialistes en phylogénie considèrent que les monotrèmes seraient des témoins de stades de transition entre les reptiles de la fin du Primaire et du Trias, et les autres mammifères comme les marsupiaux et les placentaires ;

-          5^ième extinction de masse :

L’ORNITHORYNQUE   existant déjà depuis 120 Ma (Mésozoïque), notre monotrème continuait à évoluer bizarrement jusqu’à la fin du Crétacé (vers 65 Ma), quand on constate que 75% des espèces disparaissent …

A ce niveau de catastrophe sans précédent, que s’est-t-il passé avec les rares espèces survivantes ? Chaque espèce survivante a dû se débattre vigoureusement pour survivre, certes, mais aussi pour se reproduire. Ajoutez aux radiations importantes dégagées lors de ce cinquième cataclysme, le séquençage a été perturbé et des SWITCHES ont dû fonctionner d’une manière très anarchique : erreurs de montage, nombreuses MUTATIONS, des assemblages plus performants apparurent et devinrent parmi les espèces dominantes …

      Ainsi serait apparu ce bizarre animal qu’est l’ORNITHORYNQUE semi-aquatique tel que nous le connaissons actuellement.                              Le Génome de l’animal a été décodé et montre qu’il est bien le résultat  d'un mélange de plusieurs espèces au fil de  l'évolution.                                                                                                                                   Ce génome est un amalgame incroyable de caractéristiques de mammifères et de reptiles réunis.

Les analyses génétiques ont permis d’établir que les MONOTREMES se sont dissociés plus tôt  ( 166 Ma) des autres mammifères (placentaires et marsupiaux) qui  eux, se sont séparés, il y a 148 Ma environ.

Les ORNITHORYNQUES occupent donc une place bien à eux, et constituent un terrain de jeu formidable pour l’EVOLUTION.

                                                                                                                                                                                 Résumé sur ce survivant aux multiples particularités :

-          Il est le seul dans l’Ordre des mammifères à pondre des œufs, et de plus, il n’a pas de mamelles pour nourrir ses petits (allaitement grâce à ses petits spores).

-          Il a un corps de castor avec un bec de canard muni d’électro-récepteurs lui permettant de détecter de faibles champs électriques qui provient des invertébrés vivant au fond de l’eau.

-          En ce qui concerne ses mécanorécepteurs (toucher), il s’agit là de fonctions que l’on rencontre également chez les animaux cavernicoles à l’exemple du PROTHEE.

-          Ces deux pattes postérieures sont munies d’un aiguillon à venin.

-          En génétique, alors que le sexe des mammifères est géré par une paire de chromosomes XX et XY, le sexe de l’ORNITHORYNQUE est déterminé par cinq paires de chromosomes :

-          XXXXXXXXXX pour les femelles et XYXYXYXYXY pour les mâles…Quel « casse-tête » pour toutes les combinaisons possible….

Il compte 18.500 gènes, soit environ les 2/3 de celui d’un homme ; en génome comparatif (Hommes, souris, reptiles, oiseaux, chiens…) l’Ornithorynque partage 82 % de leurs gènes.

Les scientifiques pensent que les mammifères ont évolué à partir de reptiles, et que les animaux qui allaient devenir les humains et ceux qui allaient évoluer en ORNITHORYNQUE se sont séparés il y a 165 Ma (env.) : (Source : Jenny Graves. Rohan Sullivan. AP.)

   Que de chemins parcourus durant ces 165 Ma, avec ces CINQ extinctions de masse, ces codages génétiques innombrables,… et c’est là que nos chemins avec l’Ornithorynque se séparent pour arriver aux Hominidés que nous sommes…

Les MAMMIFERES ont bien failli disparaître plus d’une fois, à tout jamais, et nous pouvons dire un grand merci à un tout petit mammifère survivant de l’ordre des TOUAÏOIDES, représenté par les TOUPAYES….puis vinrent les LEMURIENS…les PONGIDES (grands singes)…et puis les HOMINIDES que nous sommes.

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